Toutes les Peugeot 404 berlines
Sortie en 1961, quelques mois seulement après la présentation du modèle réel, la 404 Peugeot Dinky Toys restera l’une des grandes réussites de la marque et connaîtra de nombreuses variantes de berlines, de breaks et de cabriolets. Intégrée dans la série des modèles avec suspension, direction, aménagements intérieurs et vitres, la miniature ne dispose pas de parties ouvrantes. Jusqu’alors gravé en creux, ce n’est qu’en 1965, sous la référence 536, que la 404 bénéficiera d’un toit ouvrant fonctionnel.
Les évolutions du modèle
• Le plafond, toujours quadrillé, ne deviendra lisse que sur les tout derniers exemplaires.
• Le châssis, d’abord peint puis anodisé, porte les mentions spécifiques au modèle sous deux calligraphies différentes : un lettrage serré d’abord, puis plus espacé qui fera s’aligner le G de Peugeot sur le D de Dinky Toys.
• Les jantes concaves chromées, puis en aluminium, disposent sans doute de pneus blancs sur les premiers exemplaires, mais sur les modèles de production, ils sont noirs lisses remplacés ensuite par des Dunlop en nylon cranté.
Nombreuses versions
La 404 (réf. 553) fut proposée en deux couleurs de série, ivoire intérieur bordeaux, puis très vite, rouge et turquoise pâle intérieur rouge. Elle dispose d’un étui individuel dont l’illustration souligne l’effet directionnel du train avant.
En Espagne, diffusée par Poch, la 404 sera décorée en bleu vif avec pneus Pirelli et plaque d’immatriculation en décalques, tandis qu’en version Sud-africaine, elle prendra les teintes ivoire (très rarement), vert fumé et gris anthracite métallisé, toutes trois avec des jantes chromées de type Dinky anglais.
En France, de 1962 à 1969, elle fut également produite dans la gamme économique “Dinky Junior” (réf. 101) en couleur brique et rouge orangé.
La Peugeot 404 Taxi radio G7 (réf. 1400) dispose pour sa part de tous les accessoires. Produite de 1967 à 1971, elle est une variante de la référence 536.
Quant à la Peugeot 404 aux couleurs du cirque “Pinder” (réf. 882), Dinky Toys y l’a judicieusement dotée d’une caravane…
En attendant les beaux jours…
Sans oublier la version cabriolet de la star sochalienne habillée par Pininfarina pour sa sortie en 1965 (réf. 528).
